vendredi 21 décembre 2012

Le marché de Noël

Le jeudi 20 décembre, nous avons organisé un marché de Noël à l'école avec le CLAE. En classe, avec la maîtresse, nous avions fabriqué des photophores, des bougeoirs, des boules de Noël, des sapins en bois que nous avions peints, des étoiles filantes dorées, des étoiles et des sapins en bois peints de couleurs vives à suspendre au sapin. Au CLAE, avec les animatrices Océane et Colleen et avec les CP et les maternelles de Capoulet, nous avions fait des chocolats, des calendriers et des petits objets à suspendre en pâte à sel.







Pour fabriquer des boules de Noël, il faut des boules en polystyrène, des serviettes en papier, de la colle vernie, du ruban et des épingles fines.


Pour fabriquer des photophores, il faut des pots en verre (de yaourt) de la peinture vitrail et de la peinture dorée.


Ce sont les enfants qui ont tenu la caisse.




Ensuite, nous avons goûté. Il y avait des bonbons, des biscuits, des meringues et des crêpes que nous avions préparées nous-mêmes.

Merci à toutes les personnes qui sont venues pour acheter nos décorations !

Le petit journal de Niaux

Nous avons créé un journal qui s'appelle "le petit journal de Niaux". Nous avons fait des groupes pour écrire des articles à partir de ce que nous avons appris en classe. Dans le premier numéro, nous avons publié des articles sur la respiration et la circulation sanguine, sur Napoléon 1er et l'Empire, sur les événements en dehors et dans l'école, sur la position latérale de sécurité et sur les voyages faits par certains élèves en Tunisie et au Sénégal. Il y a aussi des divertissements (jeux et blagues) et des critiques littéraires et musicales.
Ce journal est en vente à l'école au prix de 3 €.
Rendez-vous au prochain numéro !



vendredi 26 octobre 2012

Nos portraits déformés

En arts visuels, nous avons travaillé sur la déformation du portrait.

Première étape :
La maîtresse nous a photographiés.

Deuxième étape :
Elle a photocopié nos portraits en noir et blanc, puis nous les avons coloriés à la façon d'Andy Wahrol avec des couleurs vives, exagérées et en aplat.




Troisième étape :
A partir de la photocopie noir et blanc de nos portraits, nous avons découpé des bandes horizontales ou verticales puis nous les avons disposées de façon à ce que notre visage soit déformé (espacées, écartées, chevauchées, décalées).






Quatrième étape :
Nous avons décalqué le contour de ces visages déformés et nous avons coloriés les formes obtenues avec des couleurs vives et qui contrastent.





Cinquième étape :
Nous avons dessiné des visages déformés à notre façon et nous avons rempli les formes avec des couleurs vives ou des rayures et des bandes, un peu à la manière de Dubuffet.






lundi 22 octobre 2012

"La reine des fourmis a disparu"

Titre : La reine des fourmis a disparu"
Auteur : Fred Bernard
Editeur : Albin Michel jeunesse

Ce roman se passe dans la forêt tropicale. La reine des fourmis a disparu et deux détectives font tout pour la retrouver. L'auteur raconte l'enquête en se mettant à la place d'une fourmi, ce qui rend le récit amusant. Tout au long de l'histoire, vous allez vous retrouver face à une panthère, un tamanoir et même une tarentule !
Les deux enquêteurs retrouveront-ils leur reine à l'aide de leur unique indice, un mystérieux poil ?

Nos avis sur ce livre :

"J'ai adoré ce livre parce qu'il y a de l'aventure, du suspense. Je n'ai pas aimé un passage : quand les hommes ont détruit la forêt. Pauvres fourmis ! Je n'ai pas aimé qu'il n'y ait pas d'illustrations. Je vous conseille ce livre parce qu'il y a de l'aventure, et on a envie de lire la fin dès le début de l'histoire." Aurélien (CM1)

"J'ai aimé ce livre car l'histoire est intéressante et même passionnante. J'ai surtout aimé quand les deux fourmis ont dû partir de la forêt. Ils vont même dans un musée. Je vous conseille ce livre." Perrine (CM1)

"Je vous conseille ce livre car il y a beaucoup d'aventures et de suspense, il y a plein de rebondissements. Mais la fin est courte, c'est dommage !" Chloé (CM1)

"J'aime bien car il y a du suspense et j'adore les romans policiers. C'est amusant car l'auteur raconte comme si nous étions des fourmis. Je vous le conseille." Lucie (CM1)

"J'ai aimé ce livre car je l'ai trouvé passionnant et j'avais envie de savoir la suite. Je me suis mise à la place des fourmis. Aussi, j'aime les romans policiers et ce livre en est un. Je vous le conseille." Judy (CM1)

"Je n'aime pas ce livre parce que la fin est trop rapide et je préfère les histoires un peu plus imaginaires. En plus les enquêtes policières, ce n'est pas un genre que j'aime." Erwan (CM1)

"J'ai aimé, c'était comique et puis surtout il y avait beaucoup de suspense. C'est amusant car vous pouvez vous mettre à la place d'une fourmi. Il y a des aventures palpitantes ! Mais ce que j'ai moins aimé c'est la fin qui est un peu brusque. Je vous conseille ce livre fantastique." Yelaan (CM2)

"J'aime ce livre parce que l'auteur raconte l'enquête comme si il était une fourmi. Je vous le conseille." Bilitis (CE2)

"J'ai bien aimé ce roman policier car il y a du suspense et que c'était drôle. Mais je n'ai pas aimé le passage où le toucan brise la vitre. Je voulais savoir la fin dès le début de l'histoire. Je vous conseille ce livre." Adèle (CE2)



lundi 18 juin 2012

Notre sortie à Orlu

Le mardi 12 juin, nous sommes allés à Orlu.
Le matin, nous avons visité la centrale hydroélectrique. Nous avons commencé la visite par l'extérieur. Dehors, nous avons vu la conduite forcée, le canal de fuite et le transformateur. Puis, à l'intérieur, nous avons regardé un court film sur la construction du barrage de Naguilhes. Ensuite nous sommes allés à l'étage : il y avait des petits films sur des écrans, des jeux qui permettaient de comprendre comment on produit l'électricité. Nous avons vu une turbine (normalement, elle est protégée et recouverte, mais là, elle était en réparation) et l'alternateur qu'elle fait fonctionner. La centrale ne fonctionnait pas ce jour-là.
A midi, nous avons mangé notre pique-nique. Malheureusement, il pleuvait, alors nous nous sommes réfugiés sous une terrasse couverte.
L'après-midi, nous avons visité le musée de l'observatoire de la montagne. Par équipes de deux, nous avons répondu à des questions sur un petit carnet. Pour trouver les réponses, nous avons cherché dans les salles du musée (chaque salle correspondait à un étage de la montagne. Dans la première salle, sombre, il y avait des choses à toucher, à sentir, à écouter et à regarder. A la fin, nous sommes passés dans une autre pièce et nous avons répondu à des questions avec succès, mais cette fois-ci, collectivement.
Puis nous sommes rentrés à l'école.

Carte d'identité de la centrale d'Orlu :
Elle se trouve à 900 m d'altitude. Elle a été mise en service en 1958.
C'est une centrale télécommandée depuis le centre de Toulouse. Elle a 4 turbines et 2 alternateurs. La quantité d'électricité qu'elle produit permet d'alimenter l'équivalent d'une ville de 45 000 habitants.
La centrale est alimentée par le barrage de Naguilhes qui se situe à 1890 m d'altitude. Un premier barrage a été construit en 1903. Le barrage actuel date de 1958. La hauteur du barrage est de 50 m. Le lac contient 42 millions de m3 d'eau. La hauteur de chute entre le barrage et la centrale est de 991 m.

Derrière la montagne se trouve le barrage de Naguilhes

La conduite forcée qui transporte l'eau du barrage à la centrale hydroélectrique

Le transformateur à côté de la centrale

Un panneau qui explique d'où vient l'eau de la centrale

Une ancienne turbine

En détail

La conduite forcée


 L'eau qui vient de passer dans les turbines part dans le canal de fuite

Une des turbines de la centrale

Les autres sont cachées

La maquette de deux turbines et de leur alternateur

lundi 4 juin 2012

Sur les traces des isards à Goulier


Jeudi 31 mai, nous sommes allés au pic de Risoul au-dessus du village de Goulier, pour essayer d'apercevoir des isards. Lors de cette randonnée, notre guide, David, nous a expliqué tous les secrets de la nature.
Au départ, nous avons emprunté un chemin herbeux qui s'est transformé en sentier escarpé. Nous avons ralenti et nous avons dû bien regarder où nous mettions les pieds. Tout à coup, David a été surpris par une vipère. Nous nous sommes tous arrêtés et nous l'avons observée à bonne distance.
Ensuite, nous avons gravi une pente raide et nous avons essayé de repérer les isards avec des jumelles, mais nous ne les avons pas vus. Puis nous nous sommes installés sous des arbres pour boire et nous reposer. David nous a expliqué comment différencier le pin du sapin : quand on tire une aiguille de l'arbre, si elles viennent par deux et qu'elles piquent, cela signifie que c'est un pin. Nous avons vu que nous étions au pied d'un pin sylvestre (le tronc est un peu orangé). Notre accompagnateur a trouvé des pommes de pin rongées par des écureuils.
Après nous sommes arrivés au pied du pic de Risoul, que nous avons gravi. Nous avons dû nous aider de nos mains sur les rochers. Au sommet à 1373 mètres d'altitude, il y a un piquet et un tissus qui donne la direction du vent pour permettre aux parapentes de décoller. Nous avons pris une photo, puis nous sommes descendus prudemment.
Vers midi, nous avons pique-niqué sous un arbre. Nous avons observé des fleurs avec une loupe. Il y avait de belles gentianes de Koch et des ancolies. David a trouvé une empreinte d'isard que nous avons moulée avec du plâtre.
Ensuite, nous avons emprunté le GR10, balisé avec deux traits blancs et rouges, pour revenir à Goulier. Nous avons vu un épicéa et un pin à crochets. Plus bas, sur un chemin boueux, nous avons découvert des empreintes de chevreuil dans la terre. Nous les avons moulées avec l'aide de David. Puis nous sommes redescendus à Goulier où le bus nous attendait.
Nous n'avons pas vu d'isards, mais cette sortie était géniale !


Nous écoutons attentivement David notre accompagnateur en montagne



C'est parti !
La pique d'Endron
David scrute les pentes à la recherche des isards...
Goulier a l'air bien petit vu d'ici
Le sentier devient escarpé
Une trace d'isard dans la terre sèche
Et des crottes aussi
On se faufile entre les genets
Stop ! David a repéré quelque chose !
C'est une vipère
Les restes du repas d'un écureuil
Il n'y a plus de sentier
Et ça monte !
Nous nous rapprochons du sommet
La dernière pente : nous laissons nos sacs ici avant l'attaque finale !
Il faut parfois mettre un peu les mains sur le rocher
Et nous voilà tous au sommet ! bravo !
Nous descendons prudemment
Certains nous font de drôles de chorégraphies
Tout le monde reste concentré
Une petite désescalade ?
David veille
De retour aux sacs sur la pelouse accueillante
Des gentianes de Koch magnifiques
Non loin de là, David a découvert une empreinte d'isard
Nous avons fabriqué du plâtre pour la mouler
Il n'y a plus qu'à attendre que cela sèche
Une belle ancolie
Que nous avons identifiée grâce à un livre sur les fleurs des Pyrénées
Au retour, nous avons suivi le GR10, balisé en blanc et rouge
Une forêt aux odeurs presque méditerranéennes
On y trouve même des pins à crochet
Son fruit a des écailles caractéristiques avec des crochets
Voici le cône de l'épicéa
David dégage le chemin avec son bâton
Et nous le suivons


On se rapproche de notre but !
Des traces de chevreuil
Luca en plein saut
Damia s'élance
Certains n'ont pas sauté assez loin !
Nous sommes de retour à Goulier